Pallu et Lambert de la Motte

Il fallut aux Français beaucoup d'opiniâtreté, de patience et d'optimisme pour se faire une place au Siam. Lorsque les trois missionnaires Pierre Lambert de la Motte, François Deydier et Jacques de Bourges arrivèrent à Ayutthaya le 22 août 1662, ils étaient loin d'être les premiers Européens à fouler le sol du royaume. Les Portugais étaient solidement établis dans le pays depuis le début du XVIe siècle. Ils y avaient un camp, des églises, des prêtres dominicains, franciscains et jésuites, beaucoup avaient épousé des femmes autochtones et avaient fondé des familles, certains, comme mercenaires ou soldats, servaient dans l'armée avec parfois des grades élevés. Plusieurs ambassades avaient été diligentées entre le Siam et le Portugal, donnant lieu à des traités d'amitié et de commerce. Sur le plan commercial, les Français arrivaient également très tardivement. Alors que la grande compagnie française des Indes voulue par Colbert n'était pas encore créée, la puissante compagnie hollandaise avait installé un comptoir dans la capitale dès 1608 et les Anglais s'étaient établis à Pattani en 1610 (ils fermeront leur comptoir en 1623 et le rouvriront à Ayutthaya vers 1661). Autant dire que tous ces acteurs, tous ces rivaux qui se livraient entre eux des guerres plus ou moins larvées, ne voyaient pas d'un bon œil l'arrivée d'un nouveau partenaire, – d'un nouveau concurrent.

Les missionnaires français furent d'emblée émerveillés par la liberté religieuse qui régnait dans le royaume, et dont ils n'avaient guère l'habitude. François Pallu, arrivé à Ayutthaya le 27 janvier 1664 avec 5 nouveaux missionnaires, écrivait : Nous ne pouvions assez bénir l'admirable conduite de Dieu, de nous voir en sûreté, réunis dans une ville dont nous n'avions pas même ouï le nom en Europe, avec liberté de nous y occuper aux fonctions de notre ministère et d'y faire tous les exercices de notre religion sans aucun trouble (1). De fait, en matière de tolérance religieuse, le Siam faisait figure d'exception dans une Asie où le christianisme était souvent regardé avec circonspection, voire hostilité, quand il n'était pas purement et simplement interdit et persécuté. Ceci nous livre un intéressant sujet de réflexion : pourquoi les missionnaires chrétiens obtinrent-ils des résultats significatifs dans les pays où ils n'étaient pas les bienvenus, Tonkin, Cochinchine, Cambodge, Japon, Chine, et essuyèrent-ils un échec complet au Siam, où toute liberté leur était pourtant laissée de prêcher, d'ouvrir des écoles et des séminaires ? Peut-être, pour reprendre la formule du père Tachard, dans les entreprises apostoliques, la contradiction est un gage de succès (2). Peut-être aussi faut-il admettre qu'un martyr fait plus pour une religion ou pour une cause que tous les discours des plus éloquents prédicateurs…

Le 17 janvier 1665, François Pallu repartit pour l'Europe afin d'obtenir du pape une extension des pouvoirs des évêques des Missions Étrangères en Asie, et en premier lieu, d'obtenir du Saint-Siège que le vicaire apostolique pour le pays et la ville de Siam fût comme le chef et eût quelque direction générale sur toutes nos missions (3). Après un voyage de 27 mois, il fut reçu en audience à Rome par Clément IX, puis gagna Paris à la fin de l'année 1667. En ces années 1664-1666, deux événements majeurs allaient favoriser une avancée des Français vers le lointain Orient : la création du séminaire des Missions Étrangères, approuvé par lettres patentes de Louis XIV en juillet 1663, qui offrait aux missionnaires disséminés dans le monde une structure centralisée logistique et administrative ainsi qu'un vivier de prêtres à la foi ardente, et la création de la Compagnie des Indes orientales, qui donnait un souffle nouveau au commerce des Indes pratiqué jusqu'alors par de petites compagnies privées aux existences souvent éphémères, qui vivotaient tant bien que mal, ne pouvant rivaliser avec les très puissantes compagnies hollandaise et anglaise, maîtresses absolues sur les mers. Chez les missionnaires, qui bénéficiaient au Siam de l'écoute bienveillante du roi Naraï – qui leur avait même offert un terrain et des matériaux pour construire une résidence et une église – l'idée commençait à germer que des relations diplomatiques et commerciales entre les deux pays pourraient être profitables tant à la religion qu'à la toute nouvelle Compagnie des Indes. Pendant son séjour à Paris, François Pallu reçut une lettre en ce sens écrite d'Ayutthaya par Pierre Lambert de la Motte : Il faut, Monseigneur, que je vous expose une pensée qui m'est venue, dont vous ferez tel usage qu'il vous plaira ; c'est qu'ayant appris les grands desseins que notre généreux monarque a pour l'établissement du commerce aux Indes, il me semble que cette ville étant un lieu très avantageux, pour cela, on pourrait insinuer au roi d'envoyer un ambassadeur en cette cour, à l'exemple des Hollandais qui y ont bien réussi, afin de traiter par lui du commerce que l'on peut faire dans ce royaume, et par ce même moyen, que Sa Majesté très chrétienne conviât ce roi de vouloir embrasser notre religion comme étant très sainte, et la plus propre à faire régner les princes qui la professent dans une suprême autorité (4). L'idée n'était pas pour effaroucher Pallu, qui la partageait : Durant le séjour que nous faisions dans les ports des Indes, voyant que tant de nations de l'Europe s'y faisaient considérer par leur commerce, nous ne pouvions nous empêcher de former d'ardents désir et de porter nos vœux vers le Ciel, afin qu'il excitât dans le cœur des Français une générosité pareille à celle qui anime nos voisins (5).

Toutefois, les temps n'étaient pas mûrs pour une ambassade française au Siam ; le jeune Louis XIV avait d'autres priorités. Dès la paix d'Aix-la-Chapelle signée en 1668, qui mettait fin à la guerre de Dévolution, l'Angleterre, les Provinces-Unies et la Suède concluaient la Triple-Alliance et menaçaient la France d'un nouveau conflit. Le roi fit tout de même l'effort de rédiger une lettre à son très cher et bon ami exotique, dont il n'avait probablement jamais entendu parler quelques mois auparavant :

Très haut, très excellent, très puissant prince, notre très cher et bon ami. Ayant appris le favorable accueil que vous avez fait à ceux de nos sujets, qui par un zèle ardent pour notre sainte religion se sont résolus de porter les lumières de la foi et de l'Évangile dans l'étendue de vos États, nous avons pris plaisir de profiter de l'occasion du retour du sieur évêque d'Héliopolis pour vous en témoigner notre reconnaissance, et vous marquer en même temps que nous nous sentons obligés du don que vous lui avez fait et au sieur de Bérythe, non seulement d'un champ pour leur habitation, mais même de matériaux pour construire leur église et leur maison. Et comme ils pourront avoir de fréquentes occasion de recourir à votre protection et à votre justice dans l'exécution d'un dessein si pieux et si salutaire, nous avons cru que vous auriez agréable que nous vous demandassions pour eux et pour tous nos autres sujets toute sorte de bons traitements, vous assurant que les grâces et les faveurs que vous leur accorderez nous seront fort chères, et que nous embrasserons avec joie les occasions de vous en marquer une gratitude, priant Dieu, très haut, très puissant, très excellent prince et très cher et bon ami, qu'il veuille augmenter votre grandeur avec fin heureuse.

Écrit en cette ville royale de Paris, le 31 janvier 1670.

Signé : Votre très cher en bon ami, Louis.

Et plus bas : Colbert (6).

Cette lettre, au contenu anodin, constitue le premier document officiel qui allait inaugurer une série d'échanges diplomatiques entre la France et le Siam jusqu'en 1688.

Le 11 avril 1670, porteur de la lettre et des présents de Louis XIV au roi Naraï ainsi que d'une lettre du pape et un bref donnant juridiction aux évêques apostoliques sur le Siam, François Pallu s'en retourna à Ayutthaya avec une dizaine de missionnaires. Ils arrivèrent dans la capitale siamoise le 27 mai 1673. La présentation des lettres allait poser quelques problèmes de protocole, les évêques jugeant inadmissible, au regard de leur dignité, de devoir se soumettre aux usages de la Cour et de se prosterner devant le monarque siamois.

Aussitôt qu'il [François Pallu] fut arrivé à la ville royale, M. de Bérythe [Pierre Lambert de la Motte] fit donner avis à la Cour que le prélat apportait pour le roi des lettres du pape et de Sa Majesté très chrétienne. Le roi reçut cette nouvelle avec joie, et l'on n'eut pas lieu de douter que tout ne dût très réussir : mais on trouva de la difficulté à chercher comment ces lettres pourraient être rendues, à cause que ce prince ne donne jamais d'audience particulière à aucun étranger, et que d'ailleurs les évêques estimaient d'une extrême conséquence de les lui présenter eux-mêmes. Après que Sa Majesté eut été suffisamment informée de la qualité et de la grandeur des deux souverains qui lui écrivaient, il fit dire à nos prélats que, pour marquer l'estime qu'il en faisait, il voulait les recevoir avec une pompe extraordinaire dans une audience publique. Cette résolution fit naître un nouvel embarras touchant la manière avec laquelle les deux évêques paraîtraient en sa présence, parce que personne n'y peut être assis, ni debout, ni chaussé, ni autrement que prosterné contre terre, ce qui est chez eux une coutume si inviolable, que les ambassadeurs même n'en sont pas exempts. Les évêques lui firent représenter, pendant trois ou quatre mois que cette affaire demeura indéterminée, qu'il y avait plusieurs choses dans les cérémonies qu'on leur avait marquées qu'il ne leur était pas permis d'accepter, étant bien aises de s'exempter par-là de tout ce qui pouvait blesser l'honneur de la religion, la dignité de leurs personnes et la gloire de la France, dont le grand monarque remportait en ce temps-là des victoires si éclatantes qui le bruit en retentissait jusqu'aux extrémités du monde.

Le roi voulut bien se relâcher sur ce chapitre. Il consentit qu'ils demeureraient chaussés, et seraient assis en particulier sur un tapis richement brodé, et qu'ils feraient leurs civilités à la mode de l'Europe (7).

Ces difficultés aplanies et le jour choisi, – le mercredi 18 octobre 1673 (douze ans plus tard, en 1685, le chevalier de Chaumont aura également audience avec le roi le 18 octobre) – les trois missionnaires (Louis Laneau, qui n'avait pas encore été sacré évêque, s'était joint à la délégation pour traduire les lettres) furent effectivement reçus avec une pompe extraordinaire. Cortège de balons, soldats sous les armes, tambours et trompettes, mandarins prosternés, éléphants de parade, rien ne fut épargné pour honorer les évêques français.

Les missionnaires se sont-ils naïvement bercés d'illusions quant à une possible conversion du roi Naraï ? Celui-ci, fin politique, s'ingénia-t-il à entretenir leurs vaines espérances par quelques signes encourageants ? Quoi qu'il en soit, ils ont cru à ce grand rêve que l'abbé de Choisy exprimait dans son Journal du 22 avril 1685 : Un roi se faire chrétien, un million d'âmes suivre son exemple, voilà peut-être ce que nous allons voir. Voilà au moins ce que nous allons tenter. Y eut-il jamais un plus beau dessein ? Et peut-il entrer dans l'esprit de l'homme une idée plus noble, une pensée plus magnifique ? Hélas, si le roi n'hésitait pas à bousculer le protocole en l'honneur des vicaires apostoliques, s'il multipliait les témoignages de bienveillance en leur faveur, écoutant avec attention leurs arguments, posant mille questions sur le christianisme, il ne se convertissait pas.

L'un des frères du roi, Chao Fa Apai thot (เจ้าฟ้าอภัยทศ), était assez disgracié par la nature, mal fait de corps, il avait les jambes de travers dont à peine pouvait-il se servir et était d'ailleurs d'un naturel fort emporté et fort adonné au vin (8). Un jour de 1668, l'astrologue du roi vint demander aux évêques, de la part de son maître, d'obtenir pour le prince impotent un miracle de Dieu pour confirmation de leur religion ; après quoi il assurait que le roi croirait en leur dieu qu'ils adorent, et lui aussi (9). Devant l'importance de l'enjeu, les bons pères ne ménagèrent pas leurs efforts : Les uns élevaient les mains vers le ciel, les autres demeuraient prosternés la face contre terre. Ceux-ci frappaient leur poitrine, ceux-là faisaient éclater leurs soupirs et leurs gémissements. Tous formaient des vœux ardents pour la conversion du roi et pour la guérison de son frère. Pendant trois jours et trois nuits, la prière fut continuée avec la même ardeur. Le jeûne fut si rigoureux qu'à peine les fidèles se permettaient les uns après les autres d'aller prendre quelque nourriture pour ne pas tomber en défaillance (10). Tant de ferveur et de sacrifices finirent par porter leurs fruits : voilà que le sang commença d'entrer dans les veines des jambes de ce prince paralytique, et la chair à croître peu à peu à la vue de toute la Cour (11). Mais quand Pierre Lambert de la Motte vint rappeler au roi sa promesse, celui-ci tergiversa et trouva des prétexte pour revenir sur sa parole : Il avait, disait-il, beaucoup de précautions à prendre et de ménagements à garder envers les grands et les mandarins, plutôt hostiles que favorables au christianisme (12).

Ces atermoiements et ces espoirs déçus ne découragèrent pas les prêtres français. En 1685, le missionnaire Bénigne Vachet adressait un mémoire aux ministres français, dans lequel il déclarait avec optimisme : Il semble que tout s'achemine à la conversion de ce prince. Il s'est fait instruire plusieurs soirs de la grandeur de notre sainte religion ; il a supprimé depuis quelques années la plupart des superstitions païennes, comme celle de couper les eaux et de leur commander de se retirer ; on ne craint plus qu'il se fasse mahométan (13).

Il est probable que le roi Naraï joua la carte française en entretenant les missionnaires dans leurs illusions pour contrebalancer le pouvoir des Hollandais, dont il avait eu l'occasion de mesurer la puissance, la brutalité et l'absence de scrupules. En 1662, une jonque portugaise commerçant pour le compte du monarque siamois avait été capturée par un navire de la VOC, et Naraï avait exigé de la compagnie hollandaise le paiement d'une lourde indemnité à titre de compensation. Non seulement les Hollandais refusèrent de payer, niant toute implication dans l'affaire, mais ils fermèrent leur comptoir d'Ayutthaya et envoyèrent deux navires pour bloquer l'entrée du fleuve Chao Phraya, paralysant ainsi le commerce du royaume. Après quatre mois de blocus, entre octobre 1663 et février 1664, le roi Naraï fut contraint à une humiliante reculade. Plus de vingt ans après ces faits, dans son Mémoire du 1er janvier 1686, l'abbé de Choisy rapportait les confidences de Louis Laneau et du chevalier de Chaumont, qui avait apporté à Naraï une nouvelle lettre de Louis XIV l'exhortant à se convertir : Ils me dirent que le roi de Siam mourait de peur des Hollandais, et que pour avoir la protection du roi, il ferait toutes choses, que peut-être ne se ferait-il pas chrétien par dévotion, mais qu'importe, pourvu qu'il le devînt et que ses sujets suivissent son exemple ; qu'à la lecture de la lettre du roi, il avait dit devant tous ses mandarins : Oh ! oh ! le roi de France me veut faire de sa religion, je lui suis bien obligé, et je vois bien que son amitié est véritablement désintéressée ; que Sa Majesté n'avait point du tout paru en colère de cette proposition, qu'elle avait ajouté : Hé bien, il ne faut pas mécontenter le roi de France, mais je ne sais encore ce que c'est que sa religion, il faut que je m'en instruise, et si je vois la vérité, je la veux suivre. L'abbé de Choisy, qui était loin d'un le candide un peu naïf qu'il laisse volontiers transparaître dans son Journal, ne fut pas dupe du prétexte : Je leur dis que plus le roi de Siam avait peur des Hollandais, plus ses beaux discours m'étaient suspects, et que peut-être il allongerait son instruction pendant dix ans pour avoir, en attendant, la protection du roi (14).

Le chevalier de Forbin fut l'un des rares à parler franchement à Louis XIV et à remettre lucidement les choses à leur place : Parlons un peu de la religion, me dit le roi. Y a-t-il beaucoup de chrétiens dans le royaume de Siam, et le roi songe-t-il véritablement à se faire chrétien lui-même ? — Sire, lui répondis-je, ce prince n'y a jamais pensé, et nul mortel ne serait assez hardi pour lui en faire la proposition (15).

Quoi qu'il en soit, et quelles qu'aient été ses motivations profondes, recherche d'un protecteur puissant ou sincère admiration pour son bon ami Louis XIV, ou peut-être les deux, le roi Naraï prit la décision d'envoyer des ambassadeurs en France dès 1674. Pierre Lambert écrivait le 23 novembre 1674 au directeur des Missions Étrangères à Paris : On est toujours ici dans le dessein de l'ambassade pour l'Europe. Le roi souhaite que je l'y accompagne ; je ferai tout mon possible pour m'en défendre (16). Toutefois, la guerre de Hollande, qui avait éclaté en 1672, rendait les voyages particulièrement périlleux pour les navires français. Ce n'est qu'à la signature du traité de Nimègue en 1678 que les mers redevinrent à peu près sûres et qu'on put entamer les préparatifs de cette ambassade. Pierre Lambert de la Motte, gravement malade, mourut en 1679, et c'est le missionnaire Claude Gayme qui fut choisi pour accompagner en France les trois ambassadeurs désignés par le roi Naraï : Okphra Pipat Racha Maïtri (ออกพระพิพัฒน์ราชไมตรี), Okkhun Sri Wisan (ออกขุนศรีวิสาร) et Okkhun Nakhon Sri Wichaï (ออกขุนนครศรีวิชัย).

Le 24 décembre 1680, jour le plus favorable choisi par les astrologue, la délégation s'embarqua sur le Vautour, un navire de la Compagnie des Indes envoyé de Surate par François Baron, le directeur du comptoir. Destination la France, où ils n'arrivèrent jamais. Le premier acte des ambassades franco-siamoises se concluait par un désastre.

NOTES

1 - François Pallu, Relation abrégée des missions et des voyages des évêques français […], 1668, pp. 37-38. 

2 - Pierre Joseph d’Orléans, Histoire de M. Constance, 1690, p. 218. 

3 - François Pallu, op. cit., p. 46. 

4 - Datée du 17 octobre 1667, citée par Launay, Histoire de la Mission de Siam, 1920, I, p. 103. 

5 - François Pallu, op. cit., p. 144-145. 

6 - Relation des missions et des voyages des évêques vicaires apostoliques et de leurs ecclésiastiques ès années 1672. 1673. 1674 et 1675, 1680, pp. 119. 

7 - Relation des missions et des voyages des évêques vicaires apostoliques et de leurs ecclésiastiques ès années 1672. 1673. 1674 et 1675, 1680, pp. 107-108. 

8 - Drans et Bernard, Mémoires du père de Bèze sur la vie de Constance Phaulkon, 1947, p. 67. 

9 - Journal de la Mission, cité par Launay, Histoire de la Mission de Siam, 1920, I, p. 20. 

10 - Jean-Baptiste Pallegoix, Description du royaume thaï ou Siam, 1854, II, p. 125-126. 

11 - Launay, op. cit., p. 20. 

12 - Adrien Launay, Siam et les missionnaires français, 1846, p. 71. 

13 - Launay, Histoire de la Mission de Siam, 1854, I, p. 155. 

14 - Launay, Histoire de la Mission de Siam, 1920, I, p. 164. 

15 - Mémoires du comte de Forbin, 1730, I, p. 245. 

16 - Launay, Histoire de la Mission de Siam, 1920, I, p. 103. 

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11 mai 2019